Plateforme Télé-Enseignement de l'Université Oran 1 Ahmed Ben Bella
Publications et Ouvrages des Enseignants
Né il y a plus d'un siècle, le concept d'anesthésie ambulatoire a connu un développement considérable dans le monde, notamment aux Etats-Unis, au Canada et dans plusieurs pays européens dont la Grande Bretagne pionnier européen. Les bénéfices de l'anesthésie ambulatoire pédiatrique sont maintenant admis par tous les acteurs. Outre les avantages économiques, le raccourcissement du temps de séparation de l'enfant de ses parents et donc diminution de l'anxiété péri -opératoire. Peu de livres ont été consacrés à l'anesthésie ambulatoire chez l'enfant. Cet ouvrage sur l'anesthésie ambulatoire chez l'enfant a pour objectif de faire le point sur les aspects organisationnels, médicolégaux et de détailler les différentes techniques anesthésiques applicables à la prise en charge ambulatoire chez l'enfant. Les critères de sortie de l'enfant et la gestion des suites postopératoires sont également abordés. Nous souhaitons qu'il réponde aux interrogations et aux attentes des lecteurs spécialistes en anesthésie et chirurgie pédiatriques.
L'hypospadias est une malformation uro-génitale très complexe, l'examen des organes génitaux externes des nouveaux né doit être fait de manière systématique en salle d'accouchement permettant ainsi une prise en charge précoce. La chirurgie de l'hypospadias ne cesse d'évoluer depuis le siècle dernier, elle demeure exigeante car elle doit répondre à une double obligation : esthétique et fonctionnelle, même dans les formes antérieurs elle demeure une chirurgie difficile et minutieuse où on doit respecter des principes très précis qui nécessite une grande expérience, d'où l'intérêt d'une sous spécialisation des chirurgiens pédiatres, car Le succès de cette chirurgie dépend de plusieurs facteurs dont l'expérience du chirurgien qui semble être l'élément fondamental, il faut dire que si la circoncision doit être faite, elle doit rester un geste chirurgical propre au chirurgien connaissant la pathologie.
La brûlure grave est définie par une perte cutanée supérieure à 25 % de la surface corporelle totale, des localisations spécifiques ou des lésions associées. Elle touche toutes les classes d'âge, mais les enfants et les jeunes adultes sont les plus exposés. La destruction locale provoque une libération de médiateurs de l'inflammation qui déclenche le SIRS. La maladie locale devient une maladie générale. La prise en charge comporte une évaluation de la surface brûlée, La table de Lund et Browder est la plus précise. La profondeur fait le pronostic de la maladie. Le remplissage vasculaire est estimé par des formules, il se délivre en débit plutôt qu'en bolus pour éviter les fuites dans le secteur interstitiel. Les voies d'abord doivent être de bon calibre. En urgence, les voies périphériques sont les plus faciles, en privilégiant les zones saines. Les voies aériennes doivent être contrôlées, en particulier lorsqu'il existe une brûlure profonde de la face; l'intubation ne doit pas être retardée. L'analgésie doit être multimodale, elle comprend des médicaments de palier I et III. La kétamine à petites doses permet une bonne analgésie de surface.
Après une chirurgie colorectale, la douleur est très intense, source d'un inconfort post opératoire marqué surtout par un iléus post opératoire, alitement prolongé. Le taux de complications générales est important, la durée moyenne d'hospitalisation varie de 10 à 20 jours. Une équipe danoise dirigée par HENRIK Kehlet, après avoir mené des recherches sur le stress opératoire, la douleur, l'iléus, les techniques d'anesthésie et les modalités de la réanimation péri-opératoire a proposé un protocole multimodale de réhabilitation rapide « fast track surgery » destiné à réduire la réponse systémique au stress chirurgical et par là à réduire le taux de complications et de la durée de séjour. Ce protocole associe une analgésie péridurale thoracique, une anesthésie combinée légère rendue possible grâce à l'utilisation dès la période préopératoire de la péridurale thoracique, une voie d'abord à ciel ouvert de taille réduite ou une coelioscopie, une mobilisation et une alimentation précoce.
Ce manuscrit est destiné à tous les soignants impliqués à l'application de ce programme anesthésiste, chirurgien, rééducateur, oncologue, infirmier, kinésithérapeute, etc
يتناول التطور اللساني واللغوي في الهوية الثقافية الجزائرية منذ القديم إلى حد اليوم وكيف وصلنا إلى لغات التعبير الحالية عن الثقافة الجزائرية
يتناول هذا الدرس التطور اللساني والغوي في الهوية الثقافية الجزائرية عبر تاريخها منذ القديم إلى حد اليوم مفسرا العوامل المؤثرة في ذلك وكيف وصلنا إلى لغات التعبير الحالية عن الثقافة الجزائرية
Le diabète : une maladie toujours en progression, fait de la Journée Mondiale du Diabète, organisée chaque 14 novembre, un symbole des congrès dans le monde à travers plusieurs associations dont « Association Santé au Travail, Sécurité, Hygiène et Environnement Ain-Témouchent » ayant pour objectif des mises au point à travers de nouvelles recommandations
Un programme scientifique de qualité, a fait vivre d’excellents moments, avec les conférenciers mettant au devant de la scène les questions d’actualité sur le diabète chez l’enfant et l’adulte en milieu médical et odontologie et a abordé aussi la thématique du rein et de son milieu intérieur, sans oublier une thématique libre pour donner aux jeunes médecins une occasion idéale d’exprimer leurs travaux sous formes de e posters ou communications orales
Les sessions ont été 100% digitales , vu une 4eme vague de la covid 19 annoncée.
Vu le risque d'une 4ème vague de COVID-19 en Algérie, cette année les 5èmes Journées Médico-Chirurgicales et Formation Médicale Continue etaient 100 % digitales,
l’initiateur de cette manifestation est l’Association Santé au Travail, Sécurité, Hygiène et Environnement Ain-Témouchent, Algérie qui avait eu l’idée d’organiser les 1ères Journées Médico-Chirurgicales à Ain-Témouchent en octobre 2017.
Plusieurs soumissions ont été proposées pour des communications libres orales et affichées dans plusieurs thèmes intéressant les expériences de santé médicale, chirurgicale, en pharmacie, et en chirurgie dentaire, contribuant ainsi à l’élaboration d’un programme de qualité riche en informations actualisées et diversifiées
ci joint le programme
Glucose has been omitted from hemodialysates in the recent past. Currently, there is a tendency to include glucose in dialysates at physiological concentrations be[1]tween 100 and 200 mg/dl (5.56±11.12 mmol/l). In adult patients, this induces, over the dialysis session, a significant uptake of glucose, with some benefits, i.e., avoidance of caloric loss, but also with some metabolic risks, i.e. de[1]creased dialytic potassium removal secondary to an insulin[1]dependent intracellular potassium shift. We have performed a crossover study in five stable children (mean age 11.7 years) with normal fasting glucose on chronic bicarbonate hemodialysis. The dialysis prescription of 3-h sessions was changed only in terms of the glucose dialysate concentra[1]tion, being either glucose free or containing 9.17 mmol/l (165 mg/dl) glucose; dialysates were potassium free. Twenty sessions were analyzed for each group by whole dialysate collection (glucose, potassium, phosphate) and serum concentration analysis during and post dialysis (glucose, potassium, phosphate, insulin). Glucose-free dialysis was associated with a patient net glucose loss of 113+12 mmol/session (nearly 20 g). Conversely, with the glucose-charged dialysate a small uptake of glucose was noted [13.8+2.1 mmol/session (nearly 2 g)]. At the end of the session, serum glucose was lower with the glucose-free dialysate (4.64+0.52 mmol/l) than the glucose-charged di[1]alysate (6.11+0.92 mmol/l). Conversely, serum insulin was higher with the glucose-charged dialysate (38+17 mU/l) than the glucose-free dialysate (19+9 mU/l). There were no significant differences either for dialytic removal of potassium (70 vs. 73 mmol/session) or phosphate (20 vs. 22 mmol/session), with and without glucose dialysates. Our study, contrary to previously published data in adults, demonstrated that in children the use of a physiological concentration of glucose in the dialysate (165 mg/dl) avoids dialytic glucose loss without a significant decrease in dia[1]lytic potassium removal. Key words: Glucose-charged dialysate ± Potassium